La marque Agnès b. incarne depuis 45 ans un style parisien, chic et décontracté qui a su conquérir le monde. Depuis 1997, Agnès b. s’appuie sur les solutions d’Oracle pour sa gestion comptable et financière, et a fait évoluer régulièrement son système lors des différentes phases de son expansion. En 2023, le groupe a choisi de migrer vers le cloud d’Oracle pour bénéficier de la sécurité et de la puissance d’Oracle Cloud Infrastructure, dans toutes ses filiales à travers le monde. Une opération menée avec succès par ERA Group, partenaire d’Oracle, qui permet à Agnès b.  de répondre aux exigences d’un groupe international en termes de conformité et de sécurité du système d’information.

Une marque de mode internationale en perpétuelle évolution

Fondée en 1975 par la créatrice Agnès Troublé, Agnès b. est une marque française iconique qui s’est distinguée dans le monde de la mode pour ses collaborations menées avec des artistes d’horizons multiples. Agnès b. distribue ses créations dans une quarantaine de boutiques et corners en France, et possède des filiales dans le monde entier, plus particulièrement sur le continent asiatique, avec une forte présence au Japon.   

Pour sa gestion financière, Agnès b. a fait le choix du logiciel JD Edwards dès 1997. Dans les années 2000, la structure juridique évolue et le groupe souhaite asseoir son influence auprès des filiales installées à l’international : aux Etats-Unis, en Angleterre, au Japon, à Taiwan et à Hong-Kong.

« Nous avions besoin d’un système financier facile à déployer, qui nous permette de gérer les particularités des systèmes comptables locaux tout en facilitant la consolidation au niveau du groupe, » explique Sébastien Berlioz, Responsable Administratif et Financier chez Agnès b.

Le groupe choisit de déployer Oracle JD Edwards en 2008 dans toutes ses filiales et débute alors sa collaboration avec ERA Group, partenaire d’Oracle, qui prend en charge le déploiement et la formation dans les différentes structures. Avec une seule instance du logiciel et un core model pour gérer les règles de comptabilité communes, la holding peut dès lors accéder en temps réel à l’ensemble des données du groupe.

Le cloud pour sécuriser les données financières

Quelques années plus tard, la situation évolue : un nouveau DSI rejoint Agnès b. et souhaite moderniser le système de gestion.

« Notre AS400 nous apportait de la robustesse et nous permettait de fonctionner avec une équipe réduite, mais les ressources expertes dans ce système devenaient de plus en plus difficiles à trouver, » constate Sébastien Berlioz.

De plus, Agnès b. doit maintenant répondre à des exigences nouvelles en termes de sécurité et de fiabilité des informations, demandées à la fois par les assureurs et par les auditeurs financiers.

Comme Oracle JD Edwards répond toujours aux besoins fonctionnels, Agnès b. choisit de quitter son hébergeur pour migrer vers le cloud public, qui lui apportera toutes les assurances nécessaires pour sécuriser son système. Accompagné par ERA, le groupe choisit de renouveler sa confiance à Oracle en sélectionnant Oracle Cloud Infrastructure (OCI), qui répond parfaitement à ses attentes en termes de sécurité, et permet d’héberger les données localement, grâce à ses datacenters installés en France.

Une migration transparente pour les filiales

La migration vers OCI s’est faite en un temps record et de manière totalement transparente pour les utilisateurs d’Oracle JD Edwards. Le choix d’effectuer à cette occasion une montée de version de JD Edwards n’a pas été un frein au déroulement du projet. Quelques semaines ont suffi pour revoir les nombreux flux de données entrants et sortants du logiciel comptable. Ensuite, l’équipe comptable de la holding a effectué en 15 jours les tests de non régression, avant d’ouvrir le système aux utilisateurs des filiales.

Ce projet a été mené en parfaite entente entre les consultants d’ERA et les experts d’Oracle, de telle sorte que le client final n’ait pas à se préoccuper de faire l’interface entre les deux partenaires.

« Ce projet a été un des plus rapides et des plus simples que j’ai eu à vivre, se réjouit Sébastien Berlioz. Les opérations ont été transparentes à la fois pour le groupe et pour les filiales. »

Suite à cette migration, Agnès b. peut fournir à ses auditeurs le rapport SOC qui assure la conformité et la sécurité des opérations financières. Les commissaires aux comptes peuvent certifier en toute confiance et les équipes internes gagnent du temps. L’entreprise a également gagné en protection de sa gestion financière, grâce à la double authentification intégrée au système.

Les bénéfices du cloud sur les aspects financiers et technologiques

Choisi en priorité pour ses aspects de robustesse et de sécurité, OCI a rapidement révélé ses autres atouts. En commençant par les aspects économiques :

« Nous redoutions le coût de cette migration, explique Sébastien Berlioz, mais finalement le budget est moindre qu’avec notre ancien hébergeur, grâce à la mutualisation des ressources et à l’expertise d’Oracle et de ses partenaires pour tirer profit de l’infrastructure. » 

En incluant la montée de version de JD Edwards, le projet s’autofinance en deux ans et demi.

Au niveau technologique, Agnès b. bénéficie de tous les services d’Oracle pour simplifier la maintenance, avec notamment le système one-click, pour accélérer le provisioning, ainsi que les services d’Autonomous Database, qui permettent de gérer automatiquement l’optimisation de la performance, les sauvegardes et l’application des patches de sécurité. Les experts d’Oracle s’appuient sur leur parfaite maitrise des nombreuses instances JD Edwards pour appliquer les meilleures pratiques d’optimisation de l’infrastructure OCI.

Cette optimisation se ressent sur les performances : en passant à OCI, Agnès b. a constaté des temps d’exécution deux fois plus rapides qu’avec son hébergeur précédent.

L’agilité du cloud et sa simplicité pour adapter la puissance de l’infrastructure est aussi un point fort pour Agnès b. :

« Nous n’avons plus besoin de déclencher des achats de mémoire ou de serveurs pour adapter notre infrastructure à nos besoins, explique Sébastien Berlioz. Avec OCI nous consommons des unités et nous sommes autonomes, ce qui rend les adaptations beaucoup plus rapides et plus simples. »

Pour la suite, Agnès b. compte bien profiter de la puissance et de l’agilité du cloud d’Oracle en y migrant d’autres serveurs utilisés pour des cas d’usage bien précis.

« Nous sommes au début de l’histoire avec OCI, du fait des possibilités que nous découvrons aujourd’hui, » conclut Sébastien Berlioz.